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Akiko Hayashi est lycéenne, et elle habite dans la préfecture de Miyazaki. Très jeune, elle savait qu'elle voulait devenir dessinatrice de mangas pour filles et avait déjà fantasmé tout son plan de carrière : l'âge auquel elle enverrait ses premières œuvres aux éditeurs, l'âge auquel elle serait publiée, l'âge auquel son manga le plus populaire serait adapté en anime... Persuadée que son génie autoproclamé suffirait à lui ouvrir toutes les portes, elle va pourtant être rattrapée par la réalité. En effet, en dernière année de lycée, sa rencontre avec un prof d'une petite école d'arts à l'écart de tout va violemment lui remettre les pieds sur terre. Ce professeur étrange, plutôt sévère et armé d'un sabre en bambou, va profondément changer sa vie !

Grâce aux méthodes peu conventionnelles du professeur Hidaka, Akiko était persuadée qu'elle réussirait sans mal l'examen d'entrée de l'école d'art de son choix. Mais une fois encore, son succès n'aura pas été à la hauteur de sa vanité. Il ne lui reste désormais plus qu'une seule chance, un dernier concours qu'elle n'a plus le droit de rater si elle espère un tant soit peu atteindre son objectif : devenir dessinatrice de mangas.

Les études d'Akiko au sein des Beaux-arts vont bientôt s'achever... Et si la jeune femme a bien profité de son quotidien, elle réalise un peu trop tard que pendant ces trois années, elle n'a pas dessiné une seule planche de manga. Un retour à Miyazaki, sa région natale, semble alors inévitable. Comment se passeront ses retrouvailles avec son professeur ?

Est-ce qu'il sera embêté, si je ne suis plus là ? Son rêve est devenu réalité ! Akiko est mangaka, en bonne et due forme... Petit à petit, elle s'éloigne de la peinture pour se consacrer à sa passion. Comment va réagir M. Hidaka, son professeur ? Et la jeune femme réussira-t-elle réellement dans ce métier ?

Alors que la carrière d'Akiko en tant que mangaka semble sur le point de décoller, elle reçoit un coup de fil de son professeur. Sous le choc de l'annonce qu'il vient de lui faire, elle ne sait pas comment réagir. Doit-elle se rendre disponible pour celui à qui elle doit tout, quitte à négliger le rendu de ses planches ? Une seule chose est sûre : le temps lui est compté ?